Si j’ai pu être heureux jusqu’à ce jour là
C’est grâce à elle
S’ils étaient toujours là pour moi
C’est toujours grâce à elle
Et si elle n’existait pas dans ce monde
Le bonheur n’aura aucun sens
S’il fallait consacrer ma vie pour quelqu’un
Je ne peux la consacré qu’a eux
Elle, est un coffre plein de bonheur
Eux, c’est la clé de ce merveille coffre
L’un des plus grands bonheurs de cette vie c’est l’amitié
Une vie sans amies ,c’est comme un ciel sans soleil ; c’est la beauté de l’amitié
Écris par : Abderrahmane Fathi
j'ai eu soudain envie de partager avec vous un moment de nostalgie, un moment de tendresse, de douceur avec Cosette, la petite fille des Misérables....
c'est mon livre, il date de mon enfance des années 1960...aux éditions Albums Roses..;l'histoire se passe justement le soir de Noël.....
comme j'aimais et j'aime toujours le feuilleter, comme je restais longtemps sur la poupée de la vitrine...comme Jean Valjean était rassurant...est-ce ce livre entre-autres qui m'a donné l'amour des poupées! mes yeux n'avaient d'yeux que pour cette grande poupée mais en regardant bien, il y a aussi une autre poupée délaissée et elle aussi, je la met à l'honneur comme la belle demoiselle rose....
Cosette, petite fille malheureuse, a su entrevoir le temps, d'un moment, le soir de Nöël, le paradis devant la vitrine......
Au moment où Cosette sortit, son seau à la main, si morne et si accablée qu'elle fût, elle ne put s'empêcher de lever les yeux sur cette prodigieuse poupée, vers la dame, comme elle l'appelait. La pauvre enfant s'arrêta pétrifiée. Elle n'avait pas encore vu cette poupée de près. Toute cette boutique lui semblait un palais;
cette poupée n'était pas une poupée, c'était une vision. C'étaient la joie, la splendeur, la richesse, le bonheur, qui apparaissaient dans une sorte de rayonnement chimérique à ce malheureux petit être englouti si profondément dans une misère funèbre et froide. Cosette mesurait avec cette sagacité naïve et triste de l'enfance l'abîme qui la séparait de cette poupée.
Elle se disait qu'il fallait être reine ou au moins princesse pour avoir une “chose” comme cela. Elle considérait cette belle robe rose, ces beaux cheveux lisses, et elle pensait: Comme elle doit être heureuse, cette poupée-là! Ses yeux ne pouvaient se détacher de cette boutique fantastique. Plus elle regardait, plus elle s'éblouissait.
Elle croyait voir le paradis. Il y avait d'autres poupées derrière la grande qui lui paraissaient des fées et des génies. Le marchand qui allait et venait au fond de sa baraque lui faisait un peu l'effet d'être le Père éternel.
Dans cette adoration, elle oubliait tout, même la commission dont elle était chargée. Tout à coup, la voix rude de la Thénardier la rappela à la réalité: - Comment, péronnelle, tu n'es pas partie! Attends! je vais à toi! Je vous demande un peu ce qu'elle fait là! Petit monstre, va!
La Thénardier avait jeté un coup d'oeil dans la rue et aperçu Cosette en extase. Cosette s'enfuit emportant son seau et faisant les plus grands pas qu'elle pouvait.......
et moi, j'aime bien quand les histoires se finissent bien! Bisous, Geny